Toutes les bonnes choses ont une fin. On va laisser Brassens tranquille maintenant. Avant de vous quitter, je tenais à remercier Bruno Haye d’avoir réalisé ce si beau coffret et Anthony Belliot d’avoir été là, présent et disponible.
Qu’aurait été ce blog sans Didier Agid, l’un des fins connaisseurs de l’œuvre de notre ami Georges et Pierre Schuller, le plus alerté des fanatiques de sa musique ? Je n’oublie pas non plus l’indispensable Claude Richard, Jean Marc Demesropian et Bertrand Dicale qui m’ont guidée dans mes recherches et m’ont aidée par leur connaissance. Merci à tous, des pensées chaleureuses à Serge et Martine Cazzani… et surtout continuez à chanter Brassens !
Est ce que je vous rappelle une dernière fois ce que vous devez commander au père noël ? Non, je vais laisser Valérie Lehoux le faire.
A bientôt les amis !
Clémentine