On célèbre cette semaine les 25 ans de la disparition de Michel Colucci, dit Coluche. Le 29 octobre prochain, les trente ans de celle de Brassens. On ne sait pas lequel des deux manque le plus. Coluche aimait Brassens. Il l’aimait tellement que, natif de Montrouge et habitant le 14e, il passait régulièrement près de l’impasse Florimont, la résidence de Brassens, dans l’espoir de l’apercevoir. Espoir vain mais qui ne l’empêcha pas de commencer sa carrière en chantant ses chansons à la terrasses des bistrots. Alors, le soir du 29 octobre 1981, lui l’amoureux et le passionné de chansons, ne s’est pas fait prier pour venir lui rendre hommage.
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On peut aussi saluer leur ami commun, qui a écrit cette belle chanson, dont voici le dernier couplet:
Les amis de Georges n’ont pas beaucoup vieilli
A les voir on dirait qu’ils auraient rajeuni
Le cheveu est plus long, la guitare toujours là
C’est toujours l’ami Georges qui donne le LA
Mais tout comme lui ils ne savent toujours pas
Rejoindre le troupeau ou bien marcher au pas
Dans les rues de Paris, sur les routes de province
Ils mendient quelquefois avec des airs de prince
En chantant des chansons du dénommé Brassens
eh bien chantons !
Salut à Jo, de l’île St Louis…
« Salut Minux, c’est papi Mougeot ! Ah oui… Alors voilà… Est-ce que le Scmimimimibilimimi… Non ! Ah ! ça y est, M’sieur Guy Lux, alors, est-ce que le Schmilblick est responsable de la mort de la cane de Jeanne ? »
Guy Lux : - »A quoi pensez-vous Monsieur ?
- Euh, à un…euh, à rein, c’était pour faire avancer le Smilimibimilibili… »